Mise en ligne le 19 mai 2023 et mise à jour le 25 juin 2023 par Gino
Les études en soins infirmiers, ça envoie du lourd ! Entre les heures interminables de révision et les stages qui te pompent toute ton énergie et la pression académique qui te donne envie de hurler, il est crucial de ne pas devenir complètement cinglé..Selon une enquête publiée en mai 2022 par la Fédération nationale des étudiants en sciences infirmières (FNESI), 61 % des étudiants déclarent que leur santé mentale s’est dégradée depuis le début de leur formation. Un étudiant sur six aurait même déjà pensé au suicide, c’est grave ! Alors comment faire pour ne pas craquer ?
Je te livre ici quelques conseils pour garder ta santé mentale intacte pendant cette folle aventure. Certains d’entre eux mon rendu un fier service :
Repérer les signes de détresse psychique
La première étape pour prendre soin de ta santé mentale, c’est de savoir reconnaître les signes de dégradation. Bon, un peu de stress et de fatigue, c’est normal, mais il faut rester attentif à certains signaux d’alerte. Ces signes peuvent inclure :
– La fatigue chronique : Tu te sens tout le temps vidé et tu n’arrives pas à récupérer, même après dix cafés.
– Les troubles du sommeil : Tu dors comme une patate pourrie, tu te réveilles toutes les heures en sursaut, et tes cauchemars sont tous liés à tes cours d’anatomie.
– La perte d’appétit : La bouffe, ça te dit plus rien. Soit tu grignotes trois feuilles de salade par jour, soit tu compenses en te gavant de chocolat à en avoir une crise de foie.
– Les troubles de l’humeur : T’es anxieux, triste, irritable ou complètement blasé. Les joies de la vie étudiante, quoi !
– Les pensées négatives : Tu te prends pour le pire étudiant du monde, tu doutes de tout, et tu te sens plus imposteur qu’une contrefaçon de Picasso.
– L’isolement social : T’as viré ermite et tu as coupé les ponts avec tes amis, ta famille et toute vie sociale. À part tes bouquins, tu parles à personne.
Si tu te reconnais dans ces symptômes ou si ton pote est dans le même état, il est temps d’en parler et de chercher de l’aide. Heureusement, y a plein de ressources pour les étudiants en soins infirmiers. La bonne nouvelle, c’est qu’ils ne te diront pas juste de boire une infusion à la camomille pour te calmer.
Par exemple, lors de la session de partiels du premier semestre, j’ai décidé de ne pas me prendre la tête à réviser chaque microscopique détail de chaque matière. J’ai choisi de prioriser les trucs vraiment importants pour éviter de finir en mode “burn out” et pour me préserver dans la durée. Parce que bon, les études en soins infirmiers, c’est pas un sprint de 100 mètres, c’est un p****n de marathon (même si parfois, j’aimerais bien qu’il soit fini plus vite).
Adopte un style de vie sain
Deuxième étape pour préserver ta santé mentale : prends soin de toi. Ouais, ton corps et ton esprit sont liés, c’est comme les épisodes de Game of Thrones, faut pas les séparer. Alors, voici quelques habitudes bénéfiques à adopter :
– Dors bien et régulièrement : Fais en sorte de roupiller suffisamment chaque nuit et d’avoir une routine de sommeil pas trop dégueulasse.
– Bouffe sainement : Arrête de te gaver de malbouffe et privilégie les légumes et les trucs qui te donnent pas l’impression d’avoir bouffé un éléphant.
– Fais du sport : Pas besoin de devenir Schwarzenegger, mais bouge ton corps régulièrement pour faire le plein d’endorphines et faire baisser ton niveau de stress.
– Gère ton stress : Respire, médite, fais du yoga, ou écrase des trucs mous si ça te détend. L’important, c’est de trouver des techniques de relaxation qui te conviennent.
– Gère ton temps : Évite de te croire dans un épisode de “24 heures chrono” et organise ton emploi du temps de manière réaliste. Prévois des moments de pause et de détente, sinon tu vas finir par péter un câble.
Par exemple, pendant les périodes de révisions intenses, j’ai essayé de respecter un horaire de sommeil régulier en me fixant une heure de coucher et de réveil tous les jours. J’ai également pris l’habitude de faire une pause quotidienne pour m’adonner à une activité physique, que ce soit du yoga ou une petite balade en plein air. Ça m’a aidé à me sentir plus détendu et à garder un minimum d’énergie pour pas finir en mode légume.
Donne un sens à tes études
Troisième étape pour préserver ta santé mentale : trouve une raison de pas tout lâcher. Parce que bon, étudier les soins infirmiers, c’est pas juste pour pouvoir porter une blouse blanche et frimer devant tes potes. Réfléchis à ce qui te motive vraiment, à tes valeurs, à tes aspirations, et trouve des réponses à ces questions existentielles :
– Pourquoi t’as choisi de faire des études en soins infirmiers ? Non, sérieusement, y a une raison plus profonde que “j’aime les aiguilles” ?
– Quels sont tes objectifs ? Qu’est-ce que tu veux faire dans ta vie professionnelle ? Quels défis tu veux relever ? Et comment tu vas t’y prendre ? Parce que si c’est juste pour avoir un diplôme et toucher un salaire, y a plus fun comme motivation.
– Célèbre tes réussites : Réfléchis à tout ce que tu as déjà accompli pendant tes études. Qu’est-ce que tu as appris ? Quelles compétences tu as développées ? Quelles expériences t’ont marqué ? Et n’oublie pas de te rappeler les compliments qu’on t’a faits, même si c’était juste ta mère qui disait que tu étais le/la meilleur(e).
– Trouve du soutien : T’es pas seul dans cette galère. Il y a des personnes prêtes à t’aider, des formateurs inspirants, des camarades de promo solidaires, et même des réseaux professionnels. Alors, cherche du soutien là où tu peux, parce que te débrouiller tout seul, c’est surfait.
Par exemple, pour donner un sens à mes études, j’ai réfléchi à mes valeurs et à l’impact que je voulais avoir en tant qu’infirmier. J’ai identifié des valeurs comme la bienveillance, l’empathie et le respect, et j’ai essayé de les appliquer dans mes stages et projets académiques. Ça m’a donné l’impression de contribuer à quelque chose de plus grand que moi, et ça a rendu ma formation plus intéressante.
Demande de l’aide quand t’en as besoin
Enfin, dernier conseil : ne joue pas les super-héros solitaires. Les études en soins infirmiers peuvent parfois être difficiles, et ça fait pas de toi un loser de demander de l’aide. Voici quelques ressources auxquelles tu peux te tourner :
– Les services psychologiques de ton établissement : Les psy et les conseillers sont là pour t’aider à gérer tes émotions et tes problèmes académiques. Profite-en, c’est inclus dans le prix de tes études.
– Le CROUS : Si t’es vraiment dans la dèche, le CROUS peut t’aider avec des trucs genre des bourses, des logements, ou des bouffes pas chères. Ils sont là pour te sortir de la galère, mais ca, je l’ai déjà dit !
– La plateforme Nightline : Si t’as juste besoin de parler à quelqu’un et que tes potes sont tous occupés, Nightline est là pour toi. Des étudiants bénévoles sympas qui t’écoutent sans te juger, c’est pas mal, non ?
Embrasse les moments de moins bien
Dans cette folle aventure qu’est la formation en soins infirmiers, il est crucial d’accepter les moments de moins bien. Les études en soins infirmiers peuvent être exigeantes. Cependant, il est essentiel de reconnaître ces périodes où tout ne va pas bien et de ne pas te forcer à vouloir être mieux immédiatement.
Lorsque tu traverses des moments difficiles, il est important de prendre le temps de comprendre pourquoi tu te sens ainsi. Ne cherche pas à masquer ou à fuir cette réalité. Il est normal de ne pas être bien tout le temps, surtout dans le contexte exigeant des études en soins infirmiers. Prends le temps de t’écouter, de réfléchir à ce qui te tire vers le bas. Identifie les facteurs de stress, les émotions négatives ou les pressions qui pèsent sur toi.
Bonne chance sur ton chemin vers le diplôme, et souviens-toi de porter tes chaussettes assorties, ça peut toujours aider.
[fusion_tooltip title=”” class=”” id=”” placement=”top” trigger=”hover”]Cet article a été rédigé à l’aide de l’intelligence artificielle. Je vous rassure, les anecdotes, retour d’expérience sont véridiques et les sources vérifiées. Il s’agit simplement d’une aide à la rédaction. [/fusion_tooltip]
